Élève de 1990 à 1997. Tout y était fait pour privilégier les "riches" et "filles de" nombreux notables de la ville. Des classes triées par niveau social, humiliations, rabaissements, brimades, nous n'avions rien à manger le soir à l'internat "3 raviolis" dans mon assiette, je me souviens. Ambiance pesante, lugubre, lourde énergétiquement et apparemment rien à changer.